12 juillet 2014

Érase se una vez


Il était une fois...
...la première entreprise pyrotechnique d'Espagne : Pirotecnia Caballer.  Elle cumule à elle seule 5 Jupiter en 6 présences à La Ronde. Belle moyenne !  Malheureusement absente du concours montréalais depuis 10 ans, les amateurs se délecteront de son retour.  Ne serait-ce que pour la quantité, mais surtout la qualité des artifices Caballer; ces produits qui font sa renommée, très souvent prisés par les compétiteurs à Montréal.  Cette année ne faisant pas exception, vous verrez la marque espagnole apparaître dans les prochaines entrevues de leurs rivaux...  Avec au moins une centaine de bombes de plus de 8'', quelques autres milliers de plus petit calibre, près de 6000 monocoups et plein d'autres belles affaires que je vous garde en surprise, ce n'est pas tout à fait le 12000 annoncé, mais ça sera sans l'ombre d'un doute tout un festin visuel !

Il était une fois... 
...une trame sonore complètement espagnole.  Complètement inconnue.  C'était important pour eux d'y aller de la sorte ?  'We wanted to go with the type of shows we used to do in La Ronde with passion and with the personnality of spanish music.  We know that the audience know a lot about music; it would be easy for us to look for more popular music, but we wanted to put classical music, sensuella, jazz; several types of spanish music in order to give the opportunity to the audience to see the variety of music we have in Spain.' me dira le directeur de la production Vicente Talayero, qui m'a gentiment traduit les mots du designer Luis Fuentes Piquer tout au long de l'entrevue.

Il était une fois... 
...un poème sans mots.  Un poème ?  Sans mots ? En pyro ?    'It should transmit the passion, the same feeling we receive from a poem.  That same passion we put in all the steps of a display : the design, the production, the preparation and the firing.  It is something very special, you couldn't tell with words. That's what we want to trasnmit to the people, the sense of a poem using music and fireworks.' justifie Vicente.  Du même souflle, il poursuit 'When we prepared the shells made exclusively for La Ronde, the passion, the emotion that we put in it is something very special...  Luis me pointe alors les avant-bras du directeur.  Il a la chair de poule !  Yeah I talk about it and i feel it' conclut-il en riant.  Si c'est pas de la passion ça...

Il était une fois. 
C'est un poème.  Sans mot.  En pyro.  Faites-en votre propre interprétation avec ce texte que m'a envoyé Luis après notre entrevue, traduit par Google, no habla espanol.   Pas facile à saisir, mais n'est-ce pas là l'une des principales caractéristiques des grands alexandrins ?

'Le spectacle nous emmène à travers les représentations de l'audio générée par armoires électro, diverses émissions de radio, magnétiques, champs atomiques, et d'autres sont aussi simples que les rythmes des tambours avec les tribus de l'eau Océanie, qui nous emmène dans des mondes séparés par le même Dieu, Un poème, parlant avec des sentiments, non des paroles prononcées par coeur avec la force de la passion, qui est allé une fois, ce que nous sommes aujourd'hui et dans l'avenir deviendra. "Il était une fois".

Avec la belle température qui s'annonce, il ne reste plus qu'à leur dire le mot de Cambronne : Mucha Mierda !!!!

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Bande sonore de 'Il était une fois' de la firme Pirotecnia Caballer de l'Espagne : 


TITRE - INTERPRÈTE/COMPOSITEUR

Un Mundo Separado por el Mismo Dios Nacho Cano
Inquietudes - Felipe Campuzano
En Aranjuez Con Tu Amor - Placido Domingo
Romanza del concertino de guitarra - Salvador Bacarisse
Agua, azucarillos y aguardiente - Preludio - Federico Chueca
Le Di A La Caza Alcance (Requiem) - Estrella Morente
Las Salinas - Felipe Campuzano
La boda de Luis Alonso - Geronimo Campuzano

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